La dérision, arme des lâches

C’est le titre de l’édito de notre administrateur, une de nos plus belles plumes de la rédaction de nos publications, Patrice Boissy, ou comment détourner l’attention des téléspectateurs, des auditeurs, des lecteurs des quelques beaux et bons penseurs, qu’ils soient historiens, écrivains, hommes politiques qui défendent l’honneur du peuple de France.

Il suffit de leur faire “tailler un costume” par l’histrion inculte et soi-disant “humoriste”, il suffit de les tourner en ridicule dans des articles aux “arômes” d’intelligence par de faux intellectuels déclarés comme tel par la doxa du jour et le tour est joué, on détourne ainsi nos bons français de la belle pensée et ainsi ils retournent à nos vieux “magouilleurs” de la politique ou à nos jeunes élus, sans expérience, sans contact avec le peuple, de la sphère macronienne.

Outre ces lignes de Patrice Boissy, ce superbe bulletin est en grande partie consacré à cette histoire, chère à notre coeur, de l’algérie, où vous trouverez de l’actualité et l’évocation du passé magnifique de cette terre de France où nous nos amis Pieds-Noirs ont peiné, où nos amis Harkis ont combattu à nos côtés, où nous avons arpenté le djebel et pour laquelle nous continuons à nous battre pour remettre “l’histoire à l’endroit”

Occasion également pour se rappeler la mémoire de nos héros mort pour l’Algérie Française, morts pour la France.

Bulletin du Secours de France – Pâques/

1 Commentaire

  1. Certes la dérision est l’arme des lâches, qui, évidemment, vivent confortablement au service du prince du moment. La tête de liste des LR pour les européennes, en particulier, semble être vraiment le candidat idéal à ce genre de pratiques journalistiques, d’autant que cela permet d’attaquer, à travers elle, tous ces Français qui résistent encore et toujours… Mais pourtant cette tête de liste LR a fait clairement son choix entre le souverainisme et le mondialisme… Sur cette liste encore, et à des places éligibles comme députés européens, des personnalités qui surprennent.
    Bref, la propagande existe depuis toujours comme arme de guerre. C’est peut-être déplorable mais c’est ainsi. La question est aussi et toujours de se poser la question ? Cui prodest? Cette propagande va-t-elle servir l’adversaire et lequel ? Et si cette propagande remotive les partisans d’un parti déjà bien malade, n’est-ce pas aussi une façon d’en affaiblir un autre, plus susceptible d’ébranler la « forteresse bruxelloise » mortifère pour les peuples européens?
    Essayons de ne pas nous en laisser conter.

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