
Dans les dernières Petites Feuilles vertes, intitulées « L’Islam en mal de créativité » (n° 61 et 62),
Annie Laurent, constatant les retards qui affectent le monde musulman
dans les domaines de la création et du progrès, expliquait ce qui, dans
les textes sacrés de l’islam, fonde une telle stagnation. Celle-ci
repose essentiellement sur la place que le Coran, tirant son absolue
souveraineté de son caractère « divin », réserve à l’homme auquel Allah
ne délègue ni autonomie ni responsabilité.
Certains observateurs,
en se référant à des épisodes historiques, considèrent cependant que
tout n’est pas définitivement figé. C’est à clarifier ces idées qu’est
consacrée la PFV n° 63 que j’ai le plaisir de vous envoyer. La PFV n° 64, à paraître, complètera celle-ci.
Bonne lecture !
François Dary,
Président de CLARIFIER
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