Commission mémorielle franco-algérienne

C’est une décision conjointe de notre Président et du Président Algérien Abdelmadjid Tebboune prise lors de leur dernier entretien téléphonique suite aux demandes d’excuses de ce dernier à l’endroit de la “république”.

Il paraît que ce serait Benjamin Stora qui s’y collerait côté français ?
Nous voilà fort mal parti et cela donne cette réflexion d’un de nos amis

A PROPOS DE LA « COMMISSION MEMORIELLE FRANCO-ALGERIENNE »

Le responsable de la partie « française » de cette fameuse commission franco-algérienne dont on a appris (en douce) l’existence il y a quelques jours est… Benjamin Stora ???

Rappelons ici que ce constantinois d’origine et de confession juive, a été trotskistes de la première heure puis ardent socialiste… lorsque le pays l’était !

Défenseur de l’indépendance de l’Algérie, ce fut aussi un constant calomniateur de l’armée française dont il a mis en avant avec détails et délectation par le biais de ses ouvrages ses « massacres » durant la guerre dite d’indépendance.  A ce titre, puisque le Bachaga Boualem est décédé, autant choisir Jean-Marie Le Pen comme avocat de la partie algérienne (encore non désigné) pour rétablir un peu l’équilibre de cette commission !

Ce n’est pas en se prêtant à de telles foutaises que notre pauvre Président (qui ne sait pas grand-chose de l’Algérie et de son histoire) va se gagner de nouveaux électeurs. Il risque par contre de perdre une partie de ceux de la droite qui le soutient encore.

Dire que tant de jeunes français – et algériens – ont perdu la vie courageusement suite à cette série de mensonges, notamment socialistes et surtout gaullistes. 

Dire que tant de français vivant en Algérie, la plupart sans fortune ni patrimoine, ont tout perdu par le vol et le pillage de leurs logements, l’incendie de leurs containers lors de leur rapatriement ; tant de harkis ont été torturés, voire dépecés par leurs compatriotes victorieux ; tant d’algériens enfin qui ont été désespérés – et le sont encore maintenant – par cette indépendance qui a mis à leur tête durant des décennies une bande de proxénètes et glorifié leurs “gagneuses” poseuses de bombes, alors qu’eux-mêmes se planquaient derrière les frontières tunisienne et marocaine (ou en France).

Ces dernières décennies, alors que j’étais moulte fois en missions en Algérie, ces algériens désespérés, je les ai personnellement entendus – parfois vu pleurer – en avouant leur regret de cet abandon précipité de la France. Pourtant ce n’était pas des ex-harkis (les squelettes ne parlent pas) ; ils étaient pourtant souvent bien placés, voire ex-responsables FLN : ministres, directeurs généraux, enseignants, formateurs, étudiants, banquiers, restaurateurs, chauffeurs de taxis etc.  Les femmes surtout, victimes permanentes du machisme ambiant et de cette religion rétrograde, se cachaient pour parler mais se sont révélées les témoins les plus virulents, les plus courageux et les plus émouvants de cette réalité.

Voilà ce dont devrait témoigner ce monsieur Stora, s’il ne croulait pas sous les éloges de la gauche bien-pensantes et sous les ors des médias aux ordres.  Malheureusement, ce ne sera sans doute pour lui que l’occasion d’un nouveau roman, tissus de mensonges et de faux souvenirs, qui donnera lieu à quelque encensement de ces médias.

C’est vrai qu’il faudrait un dédommagement au terme de cette rigolade de commission. Il va falloir en effet rembourser à la France : l’équivalent du patrimoine de l’édification d’une des plus belles villes de la méditerranée : Alger, et de tant d’autres : Oran, Bougie, Constantine, etc. ; les recherches et l’exploitation des richesses pétrolières et gazières dont l’énorme produit a été dilapidé par le FLN pour l’édification totalement ratée d’une économie marxiste et la construction des fortunes, par contre très réussie, de ses dirigeants ; la spoliation des biens des pieds noirs, des entreprises et de l’Etat français.

Au-delà de ces compensations financières devraient également être poursuivies en justice tous les massacreurs (et massacreuses – pour une fois le féminin du terme est largement justifié) ayant frappé hommes, femmes et enfants aux terrasses des cafés et leurs propres compatriotes dans les rues ou dans les geôles où ils les avaient placés. 

En réalité, le plus sage ne serait-il pas de laisser pleurer les survivants en évoquant leurs souvenirs d’une vie heureuse ou en se regardant dans leur miroir en pensant aux vilénies et, surtout, aux crimes dont ils se sont volontairement rendus coupables ou complices”

Le seul…crime de l’armée française, n’être pas intervenue le 5 juillet 1962. Honte au général…Katz.

Lire ce qu’en pense Jean Sevilla sur “Figaro Vox” en suivant ce lien.

 

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