Non seulement nous avons vendu nos plus beaux “bijoux de famille” à l’étranger, mais dans nos coopération avec nos alliés, nous nous apercevons que nous risquons de n’avoir plus la maîtrise de nos exportations notamment dans le domaine souverain par excellence, le domaine militaire.
Hors nous savons que nous devons d’élargir nos bases de marchés pour pouvoir acquérir les systèmes d’armes dont nous avons besoin dans le futur.
L’Allemagne, l’un de nos principaux partenaires dans ce domaine, peut s’opposer à notre volonté de vendre nos matériels à certains pays en prétextant ne pas vouloir que certains composants dont elle est maître d’oeuvre soient utilisés à des fins qu’elle ne cautionne pas.
Ceci au risque de pénaliser gravement notre industries de l’armement.
Lire l’article de “La Tribune ” sous la plume de Michel Cabirol en suivant ce lien.
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